Taxis parisiens : les choses que vous ignorez

Vous pensiez tout savoir sur les taxis parisiens qui accompagnent notre quotidien depuis quelques années dans la capitale française ? Vous savez ces voitures de modèles différents qui affichent un compteur qui ne finit pas d’augmenter chaque seconde. À l’étranger de l’aéroport jusqu’au l’hôtel situé en centre-ville, ou bien suite à une soirée trop arrosée où il serait trop peu prudent de prendre la voiture… Les taxis nous ont à tous sauvé la vie un certain nombre de fois. Mais alors quels sont les secrets de ces véhicules citadins ? Nous verrons ci-dessous les différentes choses que vous ignorez sur les taxis à paris.

Prendre un taxi à Paris : une expérience aux secrets multiples

Tout d’abord, la profession de taxi n’est pas aussi ancienne qu’on ne l’imagine. Les taxis parisiens ont dû attendre 1936 pour travailler sous le statut d’une profession règlementée. Cette date est symbolique pour les chauffeurs de taxis parisiens puisqu’elle incarne une véritable avancée dans leur historique professionnel. Aujourd’hui la profession de taxi se distingue sous 3 statuts différents : artisan, salarié ou locataire. À l’époque, plus de la moitié des taxis occupaient le statut d’artisan et travaillait, en moyenne, 11h par jour. Pour vous donner un ordre d’idée, le nombre de taxis parisiens était estimé à 14 000. Aujourd’hui, ils frôlent les 20 000. Et pourtant, les taxis sont généralement accusés d’être trop peu nombreux et de ne pas pouvoir couvrir la demande intégrale, il y aurait donc trop d’utilisateurs et pas assez de course de taxi à Paris. Pourtant, au risque de surprendre beaucoup d’utilisateurs mécontents, nous avons la chance de vivre dans un pays où il y a plus de taxis qu’à New York. Vous ne rêvez pas non. La ville de la démesure, avant-gardiste et précurseur de beaucoup de nos activités demeure plus faible que nous en taxis… Une fierté qui ne devrait pas nous laisser indifférents !

Prix des taxis parisiens : des tarifs parfois discutables

Les tarifs des taxis à Paris sont parfois difficiles à comprendre, voire discutables… En effet, rares sont ceux qui comprennent leur fonctionnement. En fait, pour tenter de rester simple et compréhensible, prendre le taxi à Paris : c’est un luxe ! Notamment quand on habite dans des zones géographiques particulières. Par exemple, lorsqu’on habite en zone dite « suburbaine » où la densité de population est plus importante et donc où la demande risque d’être plus forte. Si c’est le cas : pensez à vous acheter un vélo ! Bon, trêve de plaisanterie, à Paris il existe 3 différents types de tarifs évalués au kilomètre qui s’appliquent à des zones géographiques bien établies. Le tarif A désigne le tarif du lundi au samedi de 10h à 17h en zone urbaine, le B celui de 17h à 00h et le C de 00h au lendemain matin les jours fériés et dimanche. En gros le tarif C porte bien son nom, il est cher, très cher. Et le prix des taxis à Paris est désigné par les chauffeurs eux-mêmes puisque c’est eux qui actionnent le changement de tarif selon la zone dans laquelle ils se trouvent.

Taxi à Paris : une profession avec des spécificités

Et pour terminer sur les secrets de cette profession hors du commun, les taxis parisiens ont une particularité : honneur aux hommes ! Au risque de déplaire aux féministes convaincues, la profession de taxi à Paris est principalement occupée par des hommes, à hauteur de 93%. En gros, en France il y a plus d’hommes occupant le métier de sage-femme que de femmes taxi !

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